NDLR : Si le dopage est avéré dans tous les pays à des stades variés, il faudrait que l'on explique aussi pourquoi certains coureurs américains, entre autres, vainqueurs, ne sont jamais essoufflés à l'arrivée après moultes courses ayant accumulé les courses des qualifications lors des interviews...
"Vendredi 05 août 2016,
Ismaïl Mounir
Président du Centre Socio-Culturel Islamique de Longjumeau
Nous avons découvert avec étonnement et stupeur les déclarations de Mme Nathalie Kosciusko-Morizet dans une émission de France Info le 5 août 2016, dans laquelle elle assimile la mosquée de Longjumeau à « Un nid de salafistes ».
Le Centre Socio-Culturel Islamique de Longjumeau dément formellement de telles allégations.
Dans ses déclarations, Nathalie Kosciusko-Morizet va jusqu'à sous-entendre qu'elle a tenté de fermer la Mosquée de Longjumeau, en déplorant n’avoir pas eu l’arsenal juridique nécessaire pour le faire.
De telles affirmations, en plus d'être mensongères, sont en décalage total avec les relations cordiales et citoyennes que nous avons toujours entretenu avec Mme Kosciusko-Morizet, alors maire de Longjumeau.
Ces déclarations, sur l’antenne de France Info, choquent l’ensemble de la communauté musulmane de Longjumeau et suscitent une vive émotion, d'autant plus que le Centre Socio-Culturel Islamique de Longjumeau avait d'excellents liens de travail avec Mme Kosciusko-Morizet pendant son mandat, qui mettait à notre disposition des gymnases pour les prières des deux grandes fêtes musulmanes annuelles.
Lors de ces grandes occasions où des milliers de familles étaient présentes, elle était intervenue pour dire qu’il fallait, selon elle, une mosquée plus grande et plus digne pour les musulmans longjumellois.
Plus :
[Edito] Burkini: Le président du CFCM se prend les pieds dans le tapis sur RMC
L'attentat de Bruxelles en mars 2015 a-t-il été financé en partie par l'argent des aides sociales ?
Selon une enquête du "Wall Street journal", Salah Abdeslam, qui n'avait en théorie pas droit au chômage car il gérait un bar, avait reçu 19.000 euros d'aides sociales.
Les terroristes de Paris et Bruxelles ont-ils financé en partie leur attaque grâce à l'argent des aides sociales ? Selon des enquêteurs belges spécialistes des questions financières, au moins cinq auteurs présumés des attentats de Paris et de Bruxelles vivaient en tout cas en partie de diverses allocations, révèle jeudi le quotidien américain The Wall Street Journal (WSJ).
19.000 euros. Parmi eux, figure Salah Abdselam, le dernier auteur présumé toujours en vie des attentats du 13-Novembre. En théorie, il n'avait pas droit au chômage car il gérait un bar, mais dans les faits, l'État belge lui a versé presque 19.000 euros en deux ans jusqu'au mois d'octobre 2015, trois semaines avant les attaques qui ont frappé Paris et Saint-Denis.
Khalid E., qui a déclenché sa bombe dans le métro de Bruxelles, a touché pendant deux ans des allocations chômage. Les versements se sont arrêtés trois mois avant qu'il ne passe à l'acte.
Selon le président belge de la Cellule de traitement des informations financières (CTIF), Philippe de Koster, il n'y a pas de preuve que cet argent a pu servir à financer directement les attentats. Indirectement, toutefois, il aurait pu assurer le train de vie des terroristes, explique-t-il dans les colonnes du quotidien américain. Selon le WSJ, réclamer des allocations sociales est d'ailleurs l'un des conseils donné par le groupe État islamique (EI) pour obtenir "de l'argent facile".
Des contrôles renforcés.
Sur le sujet :
Juste avant les attentats, Salah Abdeslam aurait perçu des aides sociales
Plus :
Quand la vérité sur l'état islamique éclate en direct sur LCP
A écouter le témoignage de Nadia Remadna avec un parler-vrai n'hésitant pas à faire des entorses au politiquement correct des bobos ou islamogauchistes... comme Etienne Liebig (encore lui ! mais pas uniquement...) se faisant renvoyer dans les cordes avec brio... Savoureux !
L'auteure est controversée par ses congénères car elle s'est tournée vers des partis politiques qui lui ont opposé une fin de non-recevoir, son franc-parler dérangeant et "stigmatisant" sa propre communauté (mot très tendance mais divisant la Nation en parcelles de destins censés de ne plus se croiser).
A écouter sans modération...
A noter que RMC tente sans doute de se faire pardonner après avoir censuré un témoignage des plus intéressants dans un dernier podcast. A écouter ici : https://www.youtube.com/watch?v=WBI5Ng78vhc
« Je les vois, les députés, les élus depuis quinze ou vingt-cinq ans. Le seul truc qui leur fait peur, c’est les gens. Diriger, ils trouvent ça super. S’il n’y avait que des dossiers à gérer, ça serait top, mais le problème, c’est nous, les gens.
Sauf que nous, on n’en peut plus. Nous sommes épuisés. On en a marre de voir nos enfants sans diplôme, sans travail, assistés. On en a marre d’aller voir nos enfants en prison. On a été patients, mais attendre, attendre… On attend quoi ? J’étais représentante des parents d’élèves, je me suis impliquée, je me suis formée pour devenir travailleur social, je discute avec les parents des copains des enfants, je parle à tout le monde.
Une maman démissionnaire, jamais, ô grand jamais, j’en ai rencontré.Par contre, j’ai vu des mamans épuisées, fatiguées, désespérées.Alors, qu’est-ce que je me suis dit ? “Il faut qu’on se réveille.” »
Pour tous ceux qui en ont assez des soi-disant experts, un livre féroce, souvent caustique, qui alerte et dit les choses comme elles sont dans les quartiers difficiles : la drogue comme débouché professionnel, la diffusion effrayante de l’islamisme et la lamentable réponse des officiels.
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Le site de la "Brigade des mères"
Le président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, a passé "l'oral des Grandes Gueules de RMC et a réagi ce jeudi 04 août 2016 à la polémique autour d'une "journée burkini" dans un parc aquatique près de Marseille. à ce propos, ledit Speed Water Park (anciennement Aquacity), est à boycotter : on ne vend pas nos valeurs pour du fric... Ecoutez :
(...)
En outre, sur Twitter, des internautes ont repris les propos d'un Tunisien musulman appelant de Bruxelles les Grandes Gueules de RMC. Il précise que la Tunisie est confrontée aux mêmes problèmes que la France, pointant du doigt les Frères musulmans et l'UOIF interdits dans de nombreux pays mais accueillis à bras ouverts en France, dont le CFCM est un vivier organisé par Nicolas Sarkozy...
L'auditeur tunisien prévient : "Il sont partout et bien organisés y compris dans les associations ; ils ont le temps, ils mettent une burqa (niqab), un burkini, puis deux, puis trois et ils envahissent, ils font toujours ça, méfiez-vous".
J'ai donc cherché les sources de ce témoignage sur RMC...
"Ce mois d'août 2016, 80.000 foyers vont être privés de toute ou partie de leur aide au logement (APL). Et la plupart n'ont pas été prévenus correctement.
Esther, 85 ans, a reçu la lettre couperet courant juin. "Vos droits changent à compter du 1er juillet", lui indique la Caisse d’allocations familiales (CAF). L’aide au logement de quelques centaines d’euros dont elle bénéficiait jusqu’ici est purement et simplement supprimée. Esther vit à Nice et, pour la CAF, son loyer est jugé trop élevé. Esther habite le même logement depuis trente ans. Elle vient de perdre son mari. Sa retraite, désormais de 800 euros, ne suffit plus à payer son loyer de 940 euros, mais ses enfants ont choisi de l’aider plutôt que lui imposer un déménagement. "Qui accepterait de me louer un appartement, à mon âge ?", s’interroge-t-elle. Pour la vieille dame, la sanction est rude : sans APL (aide personnalisée au logement), ses revenus mensuels chutent d’un mois sur l’autre de près de 300 euros, sans recours possible !
Esther n’est pas la seule dans ce cas. Depuis le 1er juillet – les locataires ne s’en rendront compte qu’en août, les aides au logement étant perçues avec un mois de retard –, près de 80 000 foyers vont subir une baisse, voire la suppression, de leur APL si leur loyer est manifestement trop élevé par rapport à la taille du ménage. Un rabotage qui concerne surtout les personnes vivant dans des villes chères comme Paris, Nice, Lyon… "Plus précisément 1,2% des allocataires percevant les aides au logement. Pour 98,8% des allocataires, il ne se passera rien !" , se défend-on au ministère du Logement. Il n’empêche : pour près de 80% des foyers concernés, l’aide diminuera de 70€ en moyenne. Pour les 20% restants, elle va disparaître."
>>>Lire la suite sur marianne.net
Suite à l'intervention de Marine au journal télévisé de France 2, hier soir. A la fin de l'édito, la vidéo de Nicolas Sarkozy qui se vante d'avoir supprimé la double peine... cherchez l'erreur...
Sur le sujet : L'intervention de Marine le Pen au journal télévisé de France ?
J'étais ce soir l'invitée du 20h de @France2tv. #20hMLP #SaintEtienneDuRouvray #NiceAttentathttps://t.co/Po2l8Lxb9E— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 29 juillet 2016
FIGAROVOX/ANALYSE - Quand des Français tuent des Français, cela s'appelle une guerre civile, explique Shmuel Trigano dans un grand décryptage. Pour le philosophe, l' «antisémitisme musulman» du début des années 2000 était un signe annonciateur de celle-ci.
Professeur émérite des Universités, Shmuel Trigano est un philosophe et sociologue, spécialiste de la tradition hébraïque et du judaïsme contemporain.
Après l'attentat de Nice et le meurtre du prêtre de Saint Etienne du Rouvray, la France s'est retrouvée à nouveau plongée dans une atmosphère qui rappelle celle que décrit admirablement Albert Camus dans La Peste, quand un mal profond mais innommé ronge l'ambiance de la ville d'Oran. Le dispositif mis en place depuis Charlie Hebdo et dont la commémoration de la tuerie de Toulouse avait constitué un prototype ne «prend» plus.
La stratégie du déni
Je fais référence au cérémonial qui s'est mis en place pour «gérer» chaque attentat. L'effusion de compassion, qui en est la marque, est ambivalente: si elle accuse le coup de la réalité (reconnaissant qu'il y a des victimes), elle l'engloutit dans l'émotion, pour en annuler de facto le sens (en censurant la motivation que les agresseurs donnent à leur acte, à travers le rite du «pas-d'amalgame»). Or la réalité est brutale et ne fait pas dans la dentelle. Les actes terroristes sont commis explicitement au nom de l'islam et leurs perpétrateurs ne se recrutent pas au Moyen-Orient mais parmi les musulmans, en France même, dont ils sont natifs. C'est aussi dans ce milieu qu'ils trouvent abri et refuge. Avec le djihadisme mondial «franchisé», qui se développe aujourd'hui, le voisin qui vous dit «bonjour», le fonctionnaire qui vous reçoit, pourrait sans prévenir se transformer en djihadiste armé d'un couteau, d'une hache ou d'une voiture. La réalité, c'est ce que nomme en l'occultant (là aussi) le «nous sommes en guerre»: une guerre qui ne se mène pas à partir du porte-avion Charles de Gaulle mais sur le sol national et dont témoigne la militarisation de la sécurité publique. C'est très exactement ce que l'on nommait, avant l'ère du post-modernisme , une guerre civile. Le gouvernement ne fait que le confirmer lorsqu'il annonce que, même après la défaite du Califat, cette «guerre» ne sera pas finie
Cette guerre civile est, pour être plus précis, l'effet d'une guerre de religion planétaire. Le meurtre des non-musulmans est perpétré par les islamistes comme un sacrifice religieux offert à la divinité, un meurtre «moral», «sacré», de même que la mort recherchée du pseudo «martyr» lui ouvre la porte du paradis: un véritable culte de la mort. Il faut comprendre cette logique d'un autre âge, profondément régressive sur le plan de l'histoire humaine (la régression de la religion au sacrifice humain!), pour comprendre le motif de tous ces massacres. Cette explication n'est pas un commentaire de ma part. Elle découle de sources coraniques et elle est confirmée par l'imam Qaradawi, qui siège au Qatar, pays ami de la France, et qui est le chef du Conseil de la Fatwa pour l'Europe, le mentor sur la plan de la Charia des Frères Musulmans (et donc de leurs émules français). Dans ses décisions juridiques, il justifie le meurtre des non musulmans, et avant tout des Juifs, comme un moyen licite de défendre et illustrer l'islam. Il va même jusqu'à estimer que, si le «martyr» le juge nécessaire, le meurtre des non-musulmans pourrait s'accompagner, pour le succès de l'opération, de la mort de musulmans (ainsi expédiés illico presto au paradis). Sur ce dernier point, cela montre parfaitement que le fait que les attentats frappent aussi des musulmans ne diminue en rien le caractère et la justification exclusivement islamiques de ces actes. À ce propos, il est pitoyable de voir journalistes et experts se perdre en conjectures sur les motifs des massacres et entraîner avec eux un public sidéré et égaré, parce qu'ils se refusent à voir la réalité en face...
Les huées de Nice contre le gouvernement traduisent l'échec de la doctrine sécuritaire de l'Etat.
Cette réalité - vécue objectivement dans l'inconnaissance -, le Pouvoir, par sa faiblesse et ses idées fausses, ne veut ni ne peut la nommer. C'est la fonction que remplit le deuxième rouage du dispositif dont la finalité est de «naturaliser» la menace. Le slogan «il faut vivre avec le terrorisme - il y aura d'autres attentats» en est l'expression. Le Pouvoir traduit sa défaite en rase campagne sous la forme d'une injonction qui conjure l'état de guerre civile potentielle par l'affirmation d'une solidarité espérée («tous ensemble/restons unis/le terrorisme veut nous diviser») mais que les attentats érodent l'un après l'autre.
Ce cérémonial est devenu inefficace. Les huées de Nice contre le gouvernement traduisent quelque chose de profond: l'échec de la doctrine sécuritaire de l'Etat. La situation que j'ai tenté de décrire démontre sa défaillance à l'épreuve de la réalité. Toutes les actions qu'elle promeut dans le domaine sécuritaire ne peuvent être que cautère sur une jambe de bois. Elle présente un vice de forme stratégique qui retentit sur la tactique.
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NDRL : on peut parfois être d'accord avec des personnes avec lesquelles on le serait pas en temps "normal"... Selon moi, nous sommes passés du terrorisme intellectuel "islamophobie" au terrorisme tout cours ; nous avions raison... hélas, mille fois, hélas ...
Par Charles Consigny
Ceux qui se prennent pour le haut du panier (quelques ministres et leurs conseillers, quelques journalistes habitués du festival d'Avignon où ils vont voir des pièces qui durent treize heures) croient utile d'exhorter les Français à la paix, à la bienveillance mutuelle, à ne pas « tomber dans le piège de Daech » en « cédant à la haine », sous-entendu vis-à-vis des musulmans. L'inconscient de ce haut du panier est tapissé par l'image d'un Français impulsif et binaire, alcoolisé, rougeaud même. Celui qu'on appelait naguère un « Dupont-Lajoie », bref un beauf qui ne comprendrait rien du monde..."
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Plus :
"Les élus qui ont refusé de voter la fermeture des mosquées salafistes sont coupables de collaboration avec l’ennemi" @CharlesConsigny— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) July 29, 2016
La liste des 153 députés qui ont refusé la fermeture des mosquées salafistes
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