Le 14 juillet 2017, Henda Ayari, ancienne salafiste, auteure de "J'Ai Choisi d'Être Libre"passait le Grand Oral des Grandes Gueules de RMC.>>>Voir la vidéo
Si Marine Le Pen n'est pas élue en 2017, la France est finie Bonjour, titre alarmiste mais réaliste. Vous connaissez ma liberté de ton et de pensée et si je m'exprime, c'est que j'ai peur pour mon pays. L'Union européenne véhicule tellement d'enjeux financiers et de lobbyistes extra-européens visant à détruire notre modèle de société occidentale qu'il me semble temps de tirer la sonnette d'alarme. Je suis plutôt de nature optimiste mais je crains le pire pour la France, ce pays qui nous faisait encore rêver risque de disparaître.
Le président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, a passé "l'oral des Grandes Gueules de RMC et a réagi ce jeudi 04 août 2016 à la polémique autour d'une "journée burkini" dans un parc aquatique près de Marseille. à ce propos, ledit Speed Water Park (anciennement Aquacity), est à boycotter : on ne vend pas nos valeurs pour du fric... Ecoutez :
Petit règlement de compte avec mes "amis" dits du sexe fort :-)
Décryptage d'un fait divers peu banal. Une vidéo de l'agression a fait le tour du web mais l'adolescente a subi aussi des violences dans le tram. Des faits qui posent des interrogations y compris sur l'objectif du témoignage de la meneuse du groupe. Selon moi, les médias, dont Le Point, relativisent mais sans succès. Il ressort un parfum de "pas d'amalgame" bien connu de tous.
«Le voile est insupportable» pour la romancière iranienne Chahdortt Djavann L'essayiste et romancière iranienne Chahdortt Djavann, sort un nouveau livre "Les putes voilées n’iront jamais au paradis". Un livre dans lequel elle explique comment "le système islamique contrôle tout, même le désir". Editions Grasset : Ce roman vrai, puissant à couper le souffle, fait alterner le destin parallèle de deux gamines extraordinairement belles, séparées à l’âge de douze ans, et les témoignages d’outre-tombe de prostituées assassinées, pendues, lapidées en Iran. Leurs voix authentiques, parfois crues et teintées d’humour noir, surprennent, choquent, bousculent préjugés et émotions, bouleversent. Ces femmes sont si vivantes qu’elles resteront à jamais dans notre mémoire. À travers ce voyage au bout de l’enfer des mollahs, on comprend le non-dit de la folie islamiste : la haine de la chair, du corps féminin et du plaisir. L’obsession mâle de la sexualité et la tartufferie de ceux qui célèbrent la mort en criant « Allah Akbar ! » pour mieux lui imputer leurs crimes. Ici, la frontière entre la réalité et la fiction est aussi fine qu’un cheveu de femme.
7 avril 2016
L'écrivain était attaqué pour sa description dans "Soumission" d'une France défaitiste, l'actualité récente lui donne malheureusement raison... Par Jérôme Béglé Publié le 05/04/2016 à 09:56 | Le Point.fr
L’actualité est encore encombrée par une polémique à connotation religieuse dont on se serait bien passé. Mais elle soulève des questions importantes, alors parlons-en. Je suis évidemment d’accord avec Elisabeth Badinter quand elle appelle au boycott des marques qui proposent aux femmes des vêtements dits « islamiques ». Cette prétendue « mode islamique » est la triste conséquence de la rencontre entre la loi du profit, et l’extension jamais interrompue du communautarisme dans notre société. L’appât du gain amène aujourd’hui les marques à faire l’apologie de ces vêtements qui enferment les femmes dans un statut d’être inférieur, devant cacher leurs formes face à la concupiscence des mâles : quelle image des hommes mais surtout quelle spectaculaire rétrogradation pour les femmes dans notre société, quelle regrettable atteinte à leur liberté ! Mais cette irruption de la mode islamique dans le débat public n’est guère étonnante. Elle suit en effet un mouvement général d’abdication devant les revendications communautaristes et de montée en puissance d’idéologies mortifères, allant totalement à rebours de notre mode de vie, de l’émancipation féminine et plus largement de ces libertés individuelles que nous chérissons en France. La classe politique porte une responsabilité importante dans cette montée de l’intolérance, dans ces évolutions réactionnaires. Des dizaines d’années de silence, de renoncement, d’acceptation tacite devant l’affirmation de revendications pourtant inadmissibles et rejetées par la grande majorité des Français, expliquent ce que nous subissons aujourd’hui. (...)