Un coût de trois millions d'euros. Cette campagne, diffusée sur la plupart des chaînes de télévision jusqu'au 10 avril, coïncide avec la Semaine d'éducation contre le racisme et l'antisémitisme, du 21 au 28 mars. D'un coût de trois millions d'euros, elle s'inscrit dans le cadre du "plan de lutte contre le racisme et l'antisémitisme" doté de 100 millions d'euros sur trois ans. En novembre dernier, les associations (SOS Racisme, LDH...) avaient lancé leur propre campagne média, dans le cadre de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme labellisée "grande cause nationale" en 2015. Source
Au cours de l’émission « Ce soir ou jamais », ayant pour thème « comment réconcilier les antiracistes ?« , le politologue Thomas Guénolé a déploré que le discours antiraciste soit, justement, devenu raciste. Lors de cette séquence, il analyse quelques-unes des sorties d’Houria Boutledja, porte-parole du Parti des Indigènes de la République.
Rappel des propos du Parti des Indigènes de la République :
Racisme ordinaire non poursuivi par la justice française #2poids2mesures pic.twitter.com/NHzGtaVFYp— aliciabxن (@aliciabx) 2 décembre 2015
L'UE et la Turquie ont conclu le 18 mars 2016 un accord pour mettre un coup d'arrêt à l'afflux de migrants vers l'Europe. Aux dires des spécialistes, sa mise en œuvre promet d'être d'une grande complexité. Reste à savoir aussi si le texte est légal… La mesure phare, «temporaire et extraordinaire», du texte prévoit le renvoi vers la Turquie de tous les nouveaux migrants qui arriveront à partir du 20 mars sur les îles grecques. Y compris les demandeurs d'asile, notamment les Syriens fuyant la guerre. (...)
Pour chaque Syrien renvoyé, les Européens se sont engagés à «réinstaller» dans l'UE un autre Syrien depuis la Turquie. Ce dispositif sera plafonné à 72.000 places offertes en Europe. Ces renvois «commenceront à partir du 4 avril», a assuré la chancelière Allemande, Angela Merkel, qui a joué un rôle clé dans la genèse de l'accord.
Quoi en échange ?
En échange, les Européens ont accepté d'accélérer le processus de libéralisation des visas pour les ressortissants turcs. Tout en affirmant qu'ils ne transigeraient pas sur les critères à remplir. Ils ont surmonté les fortes réserves de Chypre pour promettre à Ankara d'ouvrir un nouveau chapitre (sur les finances et le budget) dans ses négociations d'adhésion à l'UE.
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Sur le plan financier, l'UE s'engage à accélérer le versement d'une aide de 3 milliards d'euros, déjà promise à la Turquie, pour la prise en charge des 2,7 millions de réfugiés qu'elle accueille déjà. Elle a ouvert la porte à une nouvelle enveloppe du même montant d'ici fin 2018. (...)
Face à l’urgence de la situation, Rioufol appelle de ses vœux le soulèvement de la société civile.
J'étais ce matin l'invitée de #RTLMatin sur @RTLFrance : https://t.co/GgZkJdDqGT #LoiTravail #Turquie— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 17 mars 2016
J'intervenais cette semaine au Parlement européen en Commission commerce international. #AECGhttps://t.co/9KWUnIo4kU— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 16 mars 2016
Grâce à vous, je suis désormais la première personnalité politique française sur #Facebook. Merci ! MLPhttps://t.co/CtI43kEpG5— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 15 mars 2016
La liberté d'expression est le premier amendement de la Constitution américaine mais la doxa bien-pensante en use et en abuse aussi.
Les primaires américaines ont révélé que la liberté d'expression n'appartenait qu'à une partie de la société américaine comme en France où une poignée d'individus détient tous les pouvoirs et donne des leçons de morale à longueur de journée...
Que l'on soit d'accord ou non avec ses idées, le tonitruant Donal Trump en fait les frais, les méthodes employées rappellent celles utilisées contre le Front National avec des violences verbales et physiques inouïes que l'on connaît.
A croire que, pour une fois, les Etats-Unis ont copié les méthodes françaises : caricatures à outrance, comparaison ignobles "rappelant les heures les plus sombres de notre histoire".
Si les primaires américaines intéressent les Français, c'est que l'avenir du monde en dépend.
Au contraire de Donald Trump qui finance sa campagne avec ses propres deniers, les fondations d'Hillary Clinton bénéficient des largesses des pays musulmans, financements ne souffrant d'aucune contestation et laissant présager le prolongement de la politique étrangère américaine.
La politique étrangère de Donal Trump paraît plus saine avec l'ambition d'ouvrir le champ d'action des Etats-Unis à des pays mis sur la touche depuis des décennies.
Mauvaise nouvelle : Donal Trump ne sera pas élu président des Etats-Unis justement parce qu'il dérangerait les plans des "amis" d'Hillary Clinton.
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La cérémonie (parodique) des Bobards d’or distingue, chaque printemps, les « meilleurs des journalistes », ceux qui n’hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct. Palmarès…
Dans cette croisade qui voit grossir ses rangs contre l’animateur de « Touche pas à mon poste », Michel Onfray a, semble-t-il, fait office de craqueur d’allumette.
Dans un entretien au Figaro Magazine le 8 janvier 2016, le philosophe s’en est pris aux modèles proposés aujourd’hui, notamment par la gauche, à la jeunesse. « Aujourd’hui, et ce depuis la gauche, on nous présente des modèles tragiques qui font rêver les jeunes : Bernard Tapie, la Rolex, la Ferrari, Cyril Hanouna, un joueur de foot qui donne des coups de boule, etc., alors qu’il y a soixante ans ou plus, un jeune rêvait d’être médecin, avocat ou professeur d’université, Jean-Paul Sartre ou Maurice Chevalier », a-t-il estimé.
Pour l’écrivain, « vouloir ressembler à Serge Reggiani ou à Yves Montand, c’est tout de même moins déshonorant que vouloir ressembler à Cyril Hanouna ! » Ainsi, « il est donc logique que de nos jours, la kalachnikov devienne le rêve ultime », avait-il conclu. C’est cette dernière phrase qui a eu le don de faire frémir la bien-pensance médiatique.
Sur Twitter, les fans de l’émission ont défendu leur idole, et le servile chroniqueur Gilles Verdez a même gratifié Onfray et Le Figaro de son « mépris éternel » ! De son côté, Cyril Hanouna n’a pas souhaité répondre au philosophe, l’accusant, dans son émission du 12 janvier, d’être un « islamophobe notoire » et un « manipulateur » qui « dit d’énormes conneries ».
Reportage d’une télévision canadienne.
« Ce n’est pas Marrakech ou une autre cité du Maghreb, c’est Molenbeek. »
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Un accord est intervenu entre l’Europe et la Turquie pour que cette dernière reprenne les migrants sur son territoire. Un accord paraphé et négocié par Angela Merkel. D'où vient son revirement ?
"C’était il y a un mois, c’était il y a un an, c’était il y a un siècle", lance Éric Zemmour en introduction. "Les 'on va y arriver", les leçons de morale de fille de pasteur luthérien, la bonne conscience, Les unes du monde entier à sa gloire, La promesse d’un prix Nobel de la paix : pour Angela Merkel aussi, c’était mieux avant", poursuit le journaliste. Selon lui, le temps de toutes les factures est venu" pour la chancelière allemande. "Elle n’a pas fini de payer, pour ses illusions, ses chimères, son arrogance", décrypte-t-il.
"Elle ne s’est pas rendue compte qu’elle ne faisait qu’inverser leur comportement. Les nazis idéalisaient l’identité allemande en diabolisant l’Autre. Angela Merkel a idéalisé l’Autre en diabolisant l’identité allemande", analyse encore Éric Zemmour. Ainsi, "tous les pays de l’Est, que Merkel croyait avoir achetés, se sont rebiffés". Les Italiens et les Français l'ont ensuite lâchée sur la crise des migrants. "On revenait aux fondamentaux, loin des illusions universalistes des bien-pensants et de la commission de Bruxelles : les frontières servaient à quelque chose !", insiste-t-il.
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