La liberté d'expression est le premier amendement de la Constitution américaine mais la doxa bien-pensante en use et en abuse aussi.
Les primaires américaines ont révélé que la liberté d'expression n'appartenait qu'à une partie de la société américaine comme en France où une poignée d'individus détient tous les pouvoirs et donne des leçons de morale à longueur de journée...
Que l'on soit d'accord ou non avec ses idées, le tonitruant Donal Trump en fait les frais, les méthodes employées rappellent celles utilisées contre le Front National avec des violences verbales et physiques inouïes que l'on connaît.
A croire que, pour une fois, les Etats-Unis ont copié les méthodes françaises : caricatures à outrance, comparaison ignobles "rappelant les heures les plus sombres de notre histoire".
Si les primaires américaines intéressent les Français, c'est que l'avenir du monde en dépend.
Au contraire de Donald Trump qui finance sa campagne avec ses propres deniers, les fondations d'Hillary Clinton bénéficient des largesses des pays musulmans, financements ne souffrant d'aucune contestation et laissant présager le prolongement de la politique étrangère américaine.
La politique étrangère de Donal Trump paraît plus saine avec l'ambition d'ouvrir le champ d'action des Etats-Unis à des pays mis sur la touche depuis des décennies.
Mauvaise nouvelle : Donal Trump ne sera pas élu président des Etats-Unis justement parce qu'il dérangerait les plans des "amis" d'Hillary Clinton.
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