Pendant des mois, des journalistes de France 2 ont enquêté sur ces jeunes Français séduits par la mouvance salafiste.
Ce sont des images édifiantes. Pendant des mois, des journalistes de France 2 ont enquêté sur ces jeunes Français séduits par la mouvance salafiste. On en a beaucoup parlé ces derniers mois, car leur vision de la laïcité pose question. Ils seraient entre 10 000 et 20 000 en France. La plupart condamnent la violence, mais ils revendiquent une pratique rigoriste de l'islam. Leur parole est rare, leurs propos, souvent, dérangent. Depuis fin 2012, et pour la première fois, une équipe d'"Envoyé spécial" a pu suivre certains d'entre eux, notamment en caméra cachée.
Dans une émission d'une vingtaine de minutes, Marine Le Pen dialoguait pour la première fois avec les utilisateurs de Facebook ce vendredi 26 février 2016 et répondait à leurs questions.
Entre autres sujets abordés, apportant son soutien aux agriculteurs, Marine Le Pen a déclaré qu'elle se rendrait au Salon de l'Agriculture le 1er mars. Elle donne rendez-vous aux utilisateurs de Facebook (vidéo visible sans être inscrit au réseau social) pour répondre à de nouvelles questions.
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Dialogue avec Marine Le Pen sur Facebook (26/02/2016)
Marine Le Pen dialoguait pour la première fois avec les utilisateurs de Facebook ce vendredi 26 février 2016 et répondait à leurs questions.
Posté par Marine Le Pen sur vendredi 26 février 2016
Je dialoguais pour la première fois en direct ce matin avec les utilisateurs de Facebook : https://t.co/sG2U7IREKX #DirectMLP— Marine Le Pen (@MLP_officiel) February 26, 2016
Après les agressions du Nouvel An à Cologne, l'écrivain et journaliste algérien n'avait pas hésité à pointer le tabou du sexe et du rapport à la femme dans le monde arabo-musulman. Face aux procès en "clichés orientalistes" et en "islamophobie", il déclare arrêter le journalisme et s'en explique dans "Le Quotidien d'Oran".
Kamel Daoud renonce. "J'arrête le journalisme sous peu", écrit-il dans Le Quotidien d'Oran, journal dans lequel il tient une chronique. Une décision qui fait suite aux violentes critiques essuyées par l'écrivain algérien après ses écrits sur les agressions sexuelles de Cologne la nuit du Nouvel An. "Nous vivons désormais une époque de sommations. Si on n'est pas d'un côté, on est de l'autre", déplore l'auteur de Meursault, contre-enquête, accusé d'alimenter une "islamophobie" ambiante.
La polémique est née de deux textes publiés récemment par Kamel Daoud. Dans une tribune publiée fin janvier dans le quotidien italien La Repubblica et traduite dans Le Monde, intitulée "Cologne, lieu de fantasmes", l'écrivain pointait comme ressort principal des agressions de Cologne le tabou du rapport à la femme dans les sociétés arabes, lié à la montée de l'islamisme. Une argumentation également développée quelques jours plus tard dans un article publié par le New York Times sur "la misère sexuelle du monde arabe".
Sur le sujet :
Selon le site Greek reporter, c’est ce qu’a déclaré Nysiros Nathanael, évêque de Kos, lors d’une interview radiophonique sur Alpha 98.9
L’évêque dit qu’il a vu de ses propres yeux des reporters de télévisions étrangères payer des « réfugiés » 20 euros pour jouer les victimes de noyade. Il ajoute que les médias présentent une image faussée des événements, bien loin de la réalité et que c’est un péché d’ainsi exploiter le désarroi de ces gens. Toujours selon l’évêque Nathanael, les seules personnes qui aident vraiment les réfugiés sont les résidents locaux, les autres organisations, gouvernementales ou non, assistant simplement les volontaires locaux.
Kos est l’une des îles grecques submergées par les clandestins, dont récemment les habitants ont manifesté contre l’ouverture de cinq nouveaux centres de tris (hotspots). Source
Pas de prière ce vendredi au sein de la mosquée de l'association culturelle turque de Marignane. Après des affrontements entre Turcs et Kurdes la semaine dernière devant le lieu de culte, le maire a fait fermer le bâtiment pour "trouble à l'ordre public." Publié le 19/02/2016 par France 3 Régions
Le rappel des faits :
La rixe de la semaine dernière, impliquant tout de même une cinquantaine de personnes, avait fait quatre blessés, pris en charge par les secours.
L'affrontement avait éclaté après un collage d'affiche dénonçant la politique du gouvernement turc par des Kurdes. Pour séparer les belligérants, la police avait employé des grenades lacrymogènes.
Une transposition du conflit entre communautés
Selon les représentants des Kurdes, l'imam de la mosquée serait partial et ne prônerait pas l'apaisement dans le conflit entre Kurdes et Turcs qui se déroule actuellement Turquie et Syrie.
"La mosquée est ouverte à tout le monde", répond Yasin Baris, porte-parole de l'association culturelle turque de Marignane. "Nous avons des amis Turcs, Kurdes, Français, Bulgares, Yougoslaves. La mosquée est ouverte à tous les musulmans, il n'y a pas de discours d'exclusion pour quiconque."
Vers une fermeture définitive ?
La radicalisation entraîne un regain de vigilance dans les armées, dévoile ce samedi matin le journaliste Vincent Roux. Un officier a confié au "Canard enchaîné" une augmentation des signalements et des comportements suspects.
article publié le 17/02/2016
JUSTICE Les parents démissionnaires, qui vivent à Sète, ont été jugés coupables et condamnés à six et un mois avec sursis pour manquement à leurs obligations légales…
De la prison avec sursis pour deux Sétois, reconnus coupables de n’avoir aucune autorité sur leur enfant de 12 ans, impliqué dans treize procédures devant le juge pour enfant. Plutôt qu’une peine d’amende ou la privation de leurs droits civiques et familiaux requise par le parquet, le tribunal correctionnel de Montpellier a choisi la voie de l’incarcération pour le père, condamné à six mois et la mère à un mois de prison, assortie pour l’un et l’autre de sursis, relate Midi Libre.
Vols, dégradations, violences, tags : à 12 ans, la liste des méfaits est impressionnante. Renvoyé des établissements scolaires, en fugue de toutes les institutions spécialisées où la justice l’envoie, cet enfant est totalement déstructuré. « Je ne lui impose rien », reconnaît son père, qui explique ne rien comprendre aux lois françaises : « Si je dis quelque chose, c’est moi qui vais en prison », plaide-t-il en référence à une condamnation à dix mois avec sursis en 2003 pour avoir molesté son fils aîné qui l’avait menacé.
Le courage de ses opinions et convictions... ce qui n'est le fort de certains...
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Jean-Marie Le Méné : « Nous sommes face à un véritable génocide des trisomiques »
Jean-Marie Le Méné est le président de la fondation Jérôme-Lejeuneet auteur de l’ouvrage Les Premières Victimes du transhumanisme, sorti le 11 février en librairie. Il revient pour Boulevard Voltaire sur les tenants de l’idéologie selon laquelle la personne trisomique est un « poison » pour les familles et l’ensemble de la société.
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